

Les contes ont été recueillis dans l’aire linguistique haoussa mais sont répandus dans les milieux sédentaires ou nomades du Sahel : on retrouve pratiquement les mêmes dans les cinq sphères djerma, zaghawa, touarègue, toubou ou peule.
Ces récits n’ont pas été fixés dans une forme écrite : chaque locuteur a pu broder, inventer, ajouter de sa veine poétique personnelle : ici, rien n’est appris « par cœur » au mot près.
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