L’ENVOÛTEMENT - L’aventure d’un jeune français au cœur de la sorcellerie africaine
Une première histoire, unique et originale, d’une passion amoureuse mixte.
Cette fiction est une entreprise littéraire qui veut montrer, au-delà des clichés et autres préjugés culturels des uns et des autres et avec un regard d’empathie, le triple enchantement dans les relations de la France et de l’Afrique noire à travers ce roman d’aventure suivant : L’envoûtement.
Un jeune polytechnicien français, Eugène-François Dunois, féru d’humanisme, fut envoyé en coopération en Côte d’Ivoire dans les années 1970.
D’abord, il fut pris en charge par la communauté française de Bouaké (2eme ville du pays), où il était affecté dans la principale entreprise de la ville, l’usine de textile, filature et tissage de Gonfreville.
Au bout de quelque temps, il décida d’en sortir pour aller à la rencontre des habitants du pays, que ce ghetto repus ignorait totalement.
C’est ainsi qu’il fit la connaissance d’un musicien génial, Adama Dramey, originaire de la Haute Volta : un éminent joueur et maître du djembé. Ils se lièrent par une amitié très forte et solide.
Eugène-François Dunois acheta une voiture tout terrain et lui proposa d’aller ensemble à la découverte d’une grande partie de l’Afrique noire d’Ouest en Est ; et qu’ils firent comme on tourne les pages d’un livre qui dévoilent des mystères, des beautés et des splendeurs inouïes de l’Afrique parcourue.
Au terme d’un long itinéraire à travers ce continent, au cours duquel il leur arriva beaucoup d’aventures, heureuses et malheureuses (ils furent otages d’un groupe armé de trafiquants de diamant au Zaire et d’un chef de clan éclairé), ils vendirent leur véhicule au Kenya et revinrent à Bouaké.
Au cours de cette odyssée, il se laissa entraîner jusque dans la face cachée des religions traditionnelles africaines. Dans l’atmosphère occulte de la sorcellerie et de la manipulation des forces ténébreuses, des oracles levèrent le voile sur des pans de sa vie future.
Mais, en rationaliste matérialiste, il n’en tint pas compte. Le jeune coopérant décida de rester encore à Bouaké pendant quelques jours afin de se reposer de leur long périple qui l’avait beaucoup exténué.
Or, c’est pendant ce laps de temps que commença une seconde aventure pour Eugène-François Dunois comme les oracles l’avaient prédit.
En effet, peu de temps avant son départ, dans un bar de la ville, il fit par hasard la connaissance d’une jeune et superbe fille, originaire du Fouta-Djalon (Guinée), qui s’appelait Fatou Diallo. Son cœur chavira sous le charme de celle-ci.
Cette banale rencontre se transforma en une passion amoureuse dans laquelle il fut aliéné. Sa bien-aimée l’avait, pour ainsi dire, attaché à l’empire d’un philtre d’amour, pensant, par ce sortilège, se l’attacher pour toujours.