Gamâl Al-Banna se définit comme un "penseur musulman libéral", régulièrement censuré en Egypte, et s'emploie à renouveler le fondement de l'"institution du savoir musulman".La traduction de ces 2 textes est une première en France.
Le premier texte vise à défendre le principe de liberté de pensée y compris pour les non croyants, le second déconstruit de l'intérieur le corpus de textes des "faits et dits" attribués au prophète de l'islam, et dénonce la doctrine pluriséculaire de l'"abrogation".