L'auteur relate les rites liés à la circoncision en pays malinké.Il retrace les péripéties de la préparation physique et mentale des jeunes garçons (
bilakoro) à cette épreuve.
Il parle de la dimension sociale et culturelle du
Sôliba, qui est l'ultime danse avant le face-à-face entre le bilakoro et le maître circonciseur.
Il parle de la circoncision comme d'un trait d'union entre la culture africaine et orientale, la tradition et la religion.