Guerre et droits de l'homme en République Démocratique du Congo
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Le 2 août 1998 éclatait, en République Démocratique du Congo, une guerre qui dura cinq ans : 1998-2003.
Au cours de cette période, le Groupe Justice et Libération a assuré "le monitoring" du déroulement des hostilités et des violations des droits de l'homme.
Kisangani en fut le principal champ de bataille.
Par la méticulosité de ses "comptes rendus", par la richesse de ses informations, vérifiées, recoupées, ce "monitoring" s'impose comme un mémorial au nom de millions de victimes congolaises, livrées à la hargne des belligérants rwandais, ougandais, burundais et congolais.
Au cours de cette période, le Groupe Justice et Libération a assuré "le monitoring" du déroulement des hostilités et des violations des droits de l'homme.
Kisangani en fut le principal champ de bataille.
Par la méticulosité de ses "comptes rendus", par la richesse de ses informations, vérifiées, recoupées, ce "monitoring" s'impose comme un mémorial au nom de millions de victimes congolaises, livrées à la hargne des belligérants rwandais, ougandais, burundais et congolais.
Fiche technique
- Auteur
- JEAN-PIERRE BADIDIKE
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pays
République démocratique du Congo
Le 2 août 1998 éclatait, en République Démocratique du Congo, une guerre qui dura cinq ans : 1998-2003.
Au cours de cette période, le Groupe Justice et Libération a assuré "le monitoring" du déroulement des hostilités et des violations des droits de l'homme.
Kisangani en fut le principal champ de bataille.
Par la méticulosité de ses "comptes rendus", par la richesse de ses informations, vérifiées, recoupées, ce "monitoring" s'impose comme un mémorial au nom de millions de victimes congolaises, livrées à la hargne des belligérants rwandais, ougandais, burundais et congolais.
Au cours de cette période, le Groupe Justice et Libération a assuré "le monitoring" du déroulement des hostilités et des violations des droits de l'homme.
Kisangani en fut le principal champ de bataille.
Par la méticulosité de ses "comptes rendus", par la richesse de ses informations, vérifiées, recoupées, ce "monitoring" s'impose comme un mémorial au nom de millions de victimes congolaises, livrées à la hargne des belligérants rwandais, ougandais, burundais et congolais.