De crises ministérielles en scandales politiques, la Quatrième République vit ses dernières heures, sans le savoir.À Alger, le mardi 13 mai 1958, un groupement de généraux et de politiques veulent le maintien de l’Algérie française au sein de la République.Ce sera le « putsch d’Alger », coordonné à Paris avec l’opération « Résurrection », qui amènera le général de Gaulle à mettre fin à sa traversée du désert et à accepter de revenir au pouvoir, « dans la légalité ou à l’occasion d’un coup de force à Alger ».Joseph Colosimo, jeune journaliste à L’Écho d’Alger, nous fait vivre avec passion, heure par heure, tous les évènements qui émaillent cette période où les yeux du monde entier sont tournés vers Alger, sauf à Paris où c’est la vacance du pouvoir, avec une crise politique sans précédent qui appelle à un gouvernement de salut public pour éviter une guerre civile.Le message proclamé par le général de Gaulle à Alger, « Je vous ai compris ! », suscite un formidable espoir pour tout un peuple qu’on reconnaît enfin comme « français à part entière ».
De crises ministérielles en scandales politiques, la Quatrième République vit ses dernières heures, sans le savoir.À Alger, le mardi 13 mai 1958, un groupement de généraux et de politiques veulent le maintien de l’Algérie française au sein de la République.Ce sera le « putsch d’Alger », coordonné à Paris avec l’opération « Résurrection », qui amènera le général de Gaulle à mettre fin à sa traversée du désert et à accepter de revenir au pouvoir, « dans la légalité ou à l’occasion d’un coup de force à Alger ».Joseph Colosimo, jeune journaliste à L’Écho d’Alger, nous fait vivre avec passion, heure par heure, tous les évènements qui émaillent cette période où les yeux du monde entier sont tournés vers Alger, sauf à Paris où c’est la vacance du pouvoir, avec une crise politique sans précédent qui appelle à un gouvernement de salut public pour éviter une guerre civile.Le message proclamé par le général de Gaulle à Alger, « Je vous ai compris ! », suscite un formidable espoir pour tout un peuple qu’on reconnaît enfin comme « français à part entière ».
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