À dire vrai, Monseigneur Auguste Roch Nkounkou, tout comme le cardinal Emile Biayenda, appartient à cette école millénaire et ancestrale noire africaine, en l’espèce koongo, de l’honneur et de la dignité qui, de tout temps, a toujours œuvré pour une promotion des qualités, des dons, des connaissances et savoirs légués par les ancêtres.
Cette école qui impose aux héritiers de fructifier le patrimoine ancestral qui leur a été légué. Telle a été la perception « sacro-sainte » du monde de Monseigneur Auguste Roch Nkounkou.
Elle a été présente tant dans son ministère pastoral que dans la réalisation de toutes ses entreprises, qu’il s’agisse de la lutte contre la misère ou de son combat contre les maux de tous genres, remettant corrélativement en cause l’harmonie et la paix sociales. Ainsi, l’objet de cet ouvrage est, dans une certaine mesure, de mettre en lumière l’itinéraire d’un homme constant, volontariste, dévoué, courageux, combattant acharné du bien-être des hommes et des libertés.