Cet ouvrage analyse la scolarisation des jeunes filles au Niger à travers une perspective socio-anthropologique, examinant comment les politiques publiques et les interventions des ONG ont modifié les perceptions sociales.
Bien que des progrès aient été réalisés, notamment en influençant les attitudes envers l’éducation des filles, des pratiques socio-culturelles telles que le mariage des filles persiste, constituant un obstacle majeur à leur scolarisation.
L’ouvrage souligne ainsi un décalage entre les perceptions sociales et les pratiques réelles, indiquant que la scolarisation des filles s’est améliorée, mais que les mariages continuent à un rythme traditionnel.
Mohamed Moctar Abdourahamane est né à Niamey (Niger).
Enseignant-chercheur, il est Maître de Conférences (CAMES) et Habilité à Diriger des Recherches (HDR) en sociologie de l’éducation au département de sociologie et d’anthropologie de l’Université Abdou Moumouni de Niamey.
Cet ouvrage analyse la scolarisation des jeunes filles au Niger à travers une perspective socio-anthropologique, examinant comment les politiques publiques et les interventions des ONG ont modifié les perceptions sociales.
Bien que des progrès aient été réalisés, notamment en influençant les attitudes envers l’éducation des filles, des pratiques socio-culturelles telles que le mariage des filles persiste, constituant un obstacle majeur à leur scolarisation.
L’ouvrage souligne ainsi un décalage entre les perceptions sociales et les pratiques réelles, indiquant que la scolarisation des filles s’est améliorée, mais que les mariages continuent à un rythme traditionnel.
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