Autodidacte, Jacques Marie François NIANG est fils d’un contremaître de l’Icotaf.
Après son certificat d’études primaires élémentaires (CEPE), il quitte l’école et commence à fréquenter le centre culturel français de Dakar et le centre culturel soviétique d’alors comme lecteur.
Sympathisant de la gauche, les trotskystes, il s’inscrit à l’Alliance française de Dakar, puis resquille les cours à la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’université de Dakar, comme auditeur libre.
Il a, tour à tour, été ouvrier dans les usines de l’Icotaf, puis agent temporaire à l’Oncad (Office national de Coopération et d'Assistance pour le Développement) et, enfin, journalier à la Caisse de péréquation et de stabilisation des prix.
Jacques NIANG mène des activités cinématographiques.