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Le recours en déclaration...
Daniel Menie Bengone
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Akomaya, un destin pour deux hommes
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Tsira Beyeme, sentant sa mort prochaine, confie son akomaya à son fils, Akoma.
Cette « chose » fera de lui un homme prospère. Néanmoins, lorsque son frère cadet deviendra adulte, Akoma devra la lui transmettre afin qu’il en jouisse et perpétue la grandeur familiale. Cependant, à Mefoup, comme ailleurs, l’akomaya ne se partage pas. Cette « chose » façonne toujours le destin d’un seul homme.
À travers ce récit, l’auteur présente une société fang-beti partagée entre tradition et modernité : celle qui vit désormais dans un environnement urbain, tout en conservant le souvenir, nostalgique, d’une ruralité heureuse ; celle qui considère l’instruction occidentale comme la clé de la réussite sociale, tout en restant, paradoxalement, attachée au mysticisme.
Ce roman est, selon Paul Armand Ntogue, un « succulent récit des destins croisés de deux enfants de la forêt qui, à eux seuls, résument les parcours et les évolutions de nos sociétés contemporaines ; tant du point de vue géographique et topographique que de celui des moeurs et habitus. »
Daniel Menie Bengone est à Libreville.
Il est titulaire d’un Master en Droit public, option Relations internationales, de l’Université du Sahel (Dakar), et d’un Diplôme d’Etudes Judiciaires de l’Ecole Nationale de la Magistrature du Gabon (filière administrative).
Magistrat, il est Commissaire à la Loi près le Tribunal administratif de Lambaréné.
Son enfance, partagée entre Libreville et Bitam, lui a permis, comme l’a écrit Senghor, de « s’enraciner dans sa culture, tout en s’ouvrant au monde ».
Akomaya est son premier roman.
Fiche technique
- Auteur
- Daniel Menie Bengone
- Éditeur
- L'Harmattan
- Année
- 2024
- Pages
- 158
- Pays
Gabon
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Tsira Beyeme, sentant sa mort prochaine, confie son akomaya à son fils, Akoma.
Cette « chose » fera de lui un homme prospère. Néanmoins, lorsque son frère cadet deviendra adulte, Akoma devra la lui transmettre afin qu’il en jouisse et perpétue la grandeur familiale. Cependant, à Mefoup, comme ailleurs, l’akomaya ne se partage pas. Cette « chose » façonne toujours le destin d’un seul homme.
À travers ce récit, l’auteur présente une société fang-beti partagée entre tradition et modernité : celle qui vit désormais dans un environnement urbain, tout en conservant le souvenir, nostalgique, d’une ruralité heureuse ; celle qui considère l’instruction occidentale comme la clé de la réussite sociale, tout en restant, paradoxalement, attachée au mysticisme.
Ce roman est, selon Paul Armand Ntogue, un « succulent récit des destins croisés de deux enfants de la forêt qui, à eux seuls, résument les parcours et les évolutions de nos sociétés contemporaines ; tant du point de vue géographique et topographique que de celui des moeurs et habitus. »