Église et État en République démocratique du Congo
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Au VIe siècle, Saint Benoît révolutionnait la vie monacale : un homme ou une femme de Dieu, ancré dans la prière, est en même temps engagé dans le développement intégral de l’homme ou de la femme.
Ainsi, à l’aube de l’évangélisation de l’Afrique à la fin du XIXe siècle, les missionnaires catholiques et protestants s’engagèrent dans une mission évangélisatrice pour le bien de l’homme africain (le missionnaire est aussi maçon, mécanicien, jardinier…) : croire en Dieu et prendre en main son destin.
Le premier Synode africain de 1994 releva quelques priorités : l’inculturation et la prise en charge des églises africaines par ses fidèles.
Charles Kusika Nzau et Baudouin Mubesala Lanza proposent aux chrétiens africains de s’engager dans le développement concret selon l’esprit de Saint Benoît et de l’Encyclique de Paul VI, Populorum Progressio, du 26 mars 1967 : « Le développement est le nouveau nom de la paix »
Master 2 en Hôtellerie et Tourisme, Master 1 en Théologie pastorale, Ingénieur en Agro-alimentaire, Prêtre Rédemptoriste, Promoteur et Directeur Général du Centre d’Information et de Vulgarisation Agroalimentaire (CIVAK) et de l’Institut Supérieur des Techniques Appliquées en Chimie Agroalimentaire (ISTACHA) de Kimpese,Charles Kusika Nzauenseigne à l’Université Pédagogique Nationale (UPN) et de Loyola du Congo (ULC).
Docteur en Sciences des missions, Prêtre Oblat de Marie Immaculée, ancien Provincial et Assistant général en charge de la formation, Recteur honoraire de l’Institut Saint Eugène de Mazenod à Kinshasa, Baudouin Mubesala Lanza enseigne à l’Université Pédagogique Nationale (UPN), à Mazenod et autres. Il est collaborateur à la Nonciature Apostolique de la RD Congo et paysan-agriculteur à Kimpese.
Fiche technique