La danse en Afrique
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Le livre d’Aïssatou Bangoura opère la critique de deux imaginaires, l’un créé autour du Noir dansant par le regard occidental, à l’époque du primitivisme et de la théorie de l’inégalité des races, largement véhiculé par les expositions coloniales et universelles du XIXe siècle ; l’autre lié au système des castes de la société sénégalaise, attribuant au griot le don inné pour la danse et le chant.
Il examine le rapport de la nature et de la culture dans l’apprentissage de la danse et la formation du danseur, en articulant constat historique et analyse sociologique et anthropologique.
Fruit de la politique culturelle de Léopold Sédar Senghor, l’engouement pour la danse suscité par le Premier Festival mondial des Arts nègres explique une floraison de groupes, de Ballets, de Festivals, d’Écoles de danse.
C’est cette dynamique qui a mené en 1977 à la création de Mudra-Afrique, grâce à la fructueuse collaboration de Maurice Béjart et Germaine Acogny.
Bien que de courte durée, l’expérience a été reprise dans plusieurs pays africains par les anciens de Mudra-Afrique.
L’univers de la danse et celui de la musique ont des relations intimes.
Elles sont consubstantielles à la vie.
Ainsi, la danse est-elle, pour Senghor, « le premier et fondamental art de l’homme », à l’origine de notre humanité, source d’où se transmet, à travers tous les autres arts – musique, peinture, sculpture, architecture –, le rythme par lequel ils participent de cette force vitale ordinatrice de ces mouvements concrets vers la lumière de l’Esprit.
Il examine le rapport de la nature et de la culture dans l’apprentissage de la danse et la formation du danseur, en articulant constat historique et analyse sociologique et anthropologique.
Fruit de la politique culturelle de Léopold Sédar Senghor, l’engouement pour la danse suscité par le Premier Festival mondial des Arts nègres explique une floraison de groupes, de Ballets, de Festivals, d’Écoles de danse.
C’est cette dynamique qui a mené en 1977 à la création de Mudra-Afrique, grâce à la fructueuse collaboration de Maurice Béjart et Germaine Acogny.
Bien que de courte durée, l’expérience a été reprise dans plusieurs pays africains par les anciens de Mudra-Afrique.
L’univers de la danse et celui de la musique ont des relations intimes.
Elles sont consubstantielles à la vie.
Ainsi, la danse est-elle, pour Senghor, « le premier et fondamental art de l’homme », à l’origine de notre humanité, source d’où se transmet, à travers tous les autres arts – musique, peinture, sculpture, architecture –, le rythme par lequel ils participent de cette force vitale ordinatrice de ces mouvements concrets vers la lumière de l’Esprit.
Aïssatou BANGOURA est ancienne de Mudra-Afrique et a dirigé une école de danse à Dakar.
Titulaire d’un Master en Arts et Cultures et d’un doctorat en Science de l’Éducation à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, elle enseigne à l’Institut supérieur des Arts et des Cultures.
Elle est membre de l’Association sénégalaise des Critiques d’Art.
Titulaire d’un Master en Arts et Cultures et d’un doctorat en Science de l’Éducation à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, elle enseigne à l’Institut supérieur des Arts et des Cultures.
Elle est membre de l’Association sénégalaise des Critiques d’Art.
Fiche technique
- Auteur
- AÏSSATOU BANGOURA
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 238
- Pays
- Sénégal
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