Dans la main de Dieu
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« Le récit de vie, ou de retour à la vie, Dans la main de Dieu, d’Annie Coly Sané est particulièrement bien titré.
Il s’agit en effet, à la suite d’un grave accident, d’une quasi résurrection facilitée par la grâce divine, le professionnalisme des soignants et l’amour des proches.
Rescapée du terrible accident d’hélicoptère qui s’est produit à Missirah en 2018, l’auteure raconte son expérience de l’hospitalisation, de la souffrance, de l’attention des proches, de la rééducation et du retour progressif à une vie normale.
Ce récit singulier d’une autre vie, d’une deuxième vie, est servi par une parfaite maîtrise de la langue dans ses subtilités, ses tons, ses nuances, ses registres.
Le ton en est équilibré, le mot toujours juste et bien choisi.
La souffrance, les doutes et incertitudes quant au retour à la vie sont néanmoins conjurés par un humour parfois décapant, une douce ironie, et, surtout, une autodérision salvatrice.
Ainsi, l’auteure n’hésite pas à décrire, de manière fort réaliste, l’intimité d’un grand malade à l’hôpital, cet endroit singulier en lévitation entre la vie et la mort, la souffrance et l’espoir.
Ce texte bâti sur le triptyque souffrance - croyance en Dieu - résilience témoigne de la relativité de la vie ainsi que de la fragilité de l’être humain.
Seul l’amour, celui de Dieu et celui des proches, permet de surmonter les plus grands obstacles.
Ce récit est une leçon d’humanisme ainsi qu’un bréviaire utile pour de grands malades, pour les soignants, les parents et amis.
»
Maguèye TOURÉ,
Directeur de la Francophonie, Écrivain et critique littéraire
Il s’agit en effet, à la suite d’un grave accident, d’une quasi résurrection facilitée par la grâce divine, le professionnalisme des soignants et l’amour des proches.
Rescapée du terrible accident d’hélicoptère qui s’est produit à Missirah en 2018, l’auteure raconte son expérience de l’hospitalisation, de la souffrance, de l’attention des proches, de la rééducation et du retour progressif à une vie normale.
Ce récit singulier d’une autre vie, d’une deuxième vie, est servi par une parfaite maîtrise de la langue dans ses subtilités, ses tons, ses nuances, ses registres.
Le ton en est équilibré, le mot toujours juste et bien choisi.
La souffrance, les doutes et incertitudes quant au retour à la vie sont néanmoins conjurés par un humour parfois décapant, une douce ironie, et, surtout, une autodérision salvatrice.
Ainsi, l’auteure n’hésite pas à décrire, de manière fort réaliste, l’intimité d’un grand malade à l’hôpital, cet endroit singulier en lévitation entre la vie et la mort, la souffrance et l’espoir.
Ce texte bâti sur le triptyque souffrance - croyance en Dieu - résilience témoigne de la relativité de la vie ainsi que de la fragilité de l’être humain.
Seul l’amour, celui de Dieu et celui des proches, permet de surmonter les plus grands obstacles.
Ce récit est une leçon d’humanisme ainsi qu’un bréviaire utile pour de grands malades, pour les soignants, les parents et amis.
»
Maguèye TOURÉ,
Directeur de la Francophonie, Écrivain et critique littéraire
Annie COLY SANÉ est professeur de français et Proviseur à la retraite.
Amie du livre et des femmes et hommes de plume, c’est dans les associations où elle milite qu’elle facilite les rencontres entre les auteurs et leurs lecteurs.
Elle est correctrice de tapuscrits au sein de maisons d’édition ou pour le compte d’auteurs qui font appel à ses compétences.
Amie du livre et des femmes et hommes de plume, c’est dans les associations où elle milite qu’elle facilite les rencontres entre les auteurs et leurs lecteurs.
Elle est correctrice de tapuscrits au sein de maisons d’édition ou pour le compte d’auteurs qui font appel à ses compétences.
Fiche technique
- Auteur
- ANNIE COLY SANÉ
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pays
Sénégal
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« Le récit de vie, ou de retour à la vie, Dans la main de Dieu, d’Annie Coly Sané est particulièrement bien titré.
Il s’agit en effet, à la suite d’un grave accident, d’une quasi résurrection facilitée par la grâce divine, le professionnalisme des soignants et l’amour des proches.
Rescapée du terrible accident d’hélicoptère qui s’est produit à Missirah en 2018, l’auteure raconte son expérience de l’hospitalisation, de la souffrance, de l’attention des proches, de la rééducation et du retour progressif à une vie normale.
Ce récit singulier d’une autre vie, d’une deuxième vie, est servi par une parfaite maîtrise de la langue dans ses subtilités, ses tons, ses nuances, ses registres.
Le ton en est équilibré, le mot toujours juste et bien choisi.
La souffrance, les doutes et incertitudes quant au retour à la vie sont néanmoins conjurés par un humour parfois décapant, une douce ironie, et, surtout, une autodérision salvatrice.
Ainsi, l’auteure n’hésite pas à décrire, de manière fort réaliste, l’intimité d’un grand malade à l’hôpital, cet endroit singulier en lévitation entre la vie et la mort, la souffrance et l’espoir.
Ce texte bâti sur le triptyque souffrance - croyance en Dieu - résilience témoigne de la relativité de la vie ainsi que de la fragilité de l’être humain.
Seul l’amour, celui de Dieu et celui des proches, permet de surmonter les plus grands obstacles.
Ce récit est une leçon d’humanisme ainsi qu’un bréviaire utile pour de grands malades, pour les soignants, les parents et amis.
»
Maguèye TOURÉ,
Directeur de la Francophonie, Écrivain et critique littéraire
Il s’agit en effet, à la suite d’un grave accident, d’une quasi résurrection facilitée par la grâce divine, le professionnalisme des soignants et l’amour des proches.
Rescapée du terrible accident d’hélicoptère qui s’est produit à Missirah en 2018, l’auteure raconte son expérience de l’hospitalisation, de la souffrance, de l’attention des proches, de la rééducation et du retour progressif à une vie normale.
Ce récit singulier d’une autre vie, d’une deuxième vie, est servi par une parfaite maîtrise de la langue dans ses subtilités, ses tons, ses nuances, ses registres.
Le ton en est équilibré, le mot toujours juste et bien choisi.
La souffrance, les doutes et incertitudes quant au retour à la vie sont néanmoins conjurés par un humour parfois décapant, une douce ironie, et, surtout, une autodérision salvatrice.
Ainsi, l’auteure n’hésite pas à décrire, de manière fort réaliste, l’intimité d’un grand malade à l’hôpital, cet endroit singulier en lévitation entre la vie et la mort, la souffrance et l’espoir.
Ce texte bâti sur le triptyque souffrance - croyance en Dieu - résilience témoigne de la relativité de la vie ainsi que de la fragilité de l’être humain.
Seul l’amour, celui de Dieu et celui des proches, permet de surmonter les plus grands obstacles.
Ce récit est une leçon d’humanisme ainsi qu’un bréviaire utile pour de grands malades, pour les soignants, les parents et amis.
»
Maguèye TOURÉ,
Directeur de la Francophonie, Écrivain et critique littéraire