Vertiges surréalistes
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Vertiges surréalistes est de ces recueils poétiques qui frappent par la richesse de leurs imaginaires et la force de leurs images.
Le poète se donne ainsi pour tâche de se libérer de toutes les assignations, pour partir en quête d’une expression capable de chanter la condition universelle d’être au monde.
Il se place pour cela sous le patronage de voix poétiques parmi les plus profondes de la littérature mondiale.
Dans un vertige qui fait fi de la barrière des langues et des époques, Vicente Huidobro côtoie de cette manière les présences obsédantes de Dante Alighieri, de Tchicaya U Tam’si, de Fernando Pessoa, d’Aimé Césaire ou encore de Charles Bukowski.
Enfin, Tornades mûres, recueil qui succède et prolonge Vertiges surréalistes, reprend à son compte la métaphore circulaire empruntée aux cercles de l’Enfer de la Divine Comédie, pour mieux explorer la mythologie de la violence politique contemporaine et lui opposer la vigueur féconde de la révolte poétique.
Aussi, comme Bouzongo Ka’ngedi l’annonce dans son épitre dédicatoire, « Toute bonne poésie explore toujours / La part inconnue de nous-même ! » et c’est maintenant au lecteur de partir à la recherche de la sienne.
— Nicolas Piedade
Le poète se donne ainsi pour tâche de se libérer de toutes les assignations, pour partir en quête d’une expression capable de chanter la condition universelle d’être au monde.
Il se place pour cela sous le patronage de voix poétiques parmi les plus profondes de la littérature mondiale.
Dans un vertige qui fait fi de la barrière des langues et des époques, Vicente Huidobro côtoie de cette manière les présences obsédantes de Dante Alighieri, de Tchicaya U Tam’si, de Fernando Pessoa, d’Aimé Césaire ou encore de Charles Bukowski.
Enfin, Tornades mûres, recueil qui succède et prolonge Vertiges surréalistes, reprend à son compte la métaphore circulaire empruntée aux cercles de l’Enfer de la Divine Comédie, pour mieux explorer la mythologie de la violence politique contemporaine et lui opposer la vigueur féconde de la révolte poétique.
Aussi, comme Bouzongo Ka’ngedi l’annonce dans son épitre dédicatoire, « Toute bonne poésie explore toujours / La part inconnue de nous-même ! » et c’est maintenant au lecteur de partir à la recherche de la sienne.
— Nicolas Piedade
Avec ce nouveau volume, Bouzongo Ka’ngedi signe sa troisième et quatrième publication poétique.
Actuellement professeur de lettres modernes dans un lycée français d’outre-mer, ce poète d’origine gabonaise à la plume originale et à l’écriture profondément symboliste, règle ses comptes avec tous les répertoires de représentation convenus de l’Afrique littéraire.
Nul jeu facile avec les images de l’exotisme excitant les imaginaires coloniaux n’a sa place entre ces pages, de la même manière que tout élan idéaliste s’en trouve exclu.
Actuellement professeur de lettres modernes dans un lycée français d’outre-mer, ce poète d’origine gabonaise à la plume originale et à l’écriture profondément symboliste, règle ses comptes avec tous les répertoires de représentation convenus de l’Afrique littéraire.
Nul jeu facile avec les images de l’exotisme excitant les imaginaires coloniaux n’a sa place entre ces pages, de la même manière que tout élan idéaliste s’en trouve exclu.
Fiche technique
- Auteur
- BOUZONGO KA'NGEDI
- Éditeur
- L'Harmattan