La légende d’un peuple meurtri
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Résonnance poétique au-delà de l’imaginaire, La Légende d’un peuple meurtri se présente ostensiblement comme le cahier d’une aventure d’un être vivant entre deux modes de vie, entre lueur d’espoir et déception, entre soleil et sans doute le noir.
Un peuple qui agonise, un peuple qui meurt, et ce peuple semble exister dans une éternelle impasse ; car il ne respire que la douleur et la misère, mais cette légende demeure dans son essence un récit-poème dans lequel on retrouve également le voyage émotionnel à travers des vers, des chants à l’égard d’un paradis perdu, l’Oubangui dans toute son ivresse.
Comme par ses vers qui s’exhibent :
L’œil qui pleure,
Les lèvres qui sourient,
Le sommeil qui se réveille,
Le cœur qui résonne l’envie de vivre,
Les coups qui tombent sur les innocents,
Les épreuves qui frappent à nos portes
Sont le reflet de ma terre.
Un peuple qui agonise, un peuple qui meurt, et ce peuple semble exister dans une éternelle impasse ; car il ne respire que la douleur et la misère, mais cette légende demeure dans son essence un récit-poème dans lequel on retrouve également le voyage émotionnel à travers des vers, des chants à l’égard d’un paradis perdu, l’Oubangui dans toute son ivresse.
Comme par ses vers qui s’exhibent :
L’œil qui pleure,
Les lèvres qui sourient,
Le sommeil qui se réveille,
Le cœur qui résonne l’envie de vivre,
Les coups qui tombent sur les innocents,
Les épreuves qui frappent à nos portes
Sont le reflet de ma terre.
Bienvenu Juvénal Rouheda Yassara est un poète, slameur et écrivain centrafricain, auteur du recueil Mon éclat sous un soleil noir (Edilivre, 2023).
Il étudie en Licence 3 de droit public à l’Université de Bangui.
Amoureux de la littérature dès son jeune âge, il continue d’écrire dans divers genres littéraires et anime des ateliers d’écriture.
Il étudie en Licence 3 de droit public à l’Université de Bangui.
Amoureux de la littérature dès son jeune âge, il continue d’écrire dans divers genres littéraires et anime des ateliers d’écriture.
Fiche technique
- Auteur
- BIENVENU JUVÉNAL ROUHEDA YASSARA
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pays
République centrafricaine
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Résonnance poétique au-delà de l’imaginaire, La Légende d’un peuple meurtri se présente ostensiblement comme le cahier d’une aventure d’un être vivant entre deux modes de vie, entre lueur d’espoir et déception, entre soleil et sans doute le noir.
Un peuple qui agonise, un peuple qui meurt, et ce peuple semble exister dans une éternelle impasse ; car il ne respire que la douleur et la misère, mais cette légende demeure dans son essence un récit-poème dans lequel on retrouve également le voyage émotionnel à travers des vers, des chants à l’égard d’un paradis perdu, l’Oubangui dans toute son ivresse.
Comme par ses vers qui s’exhibent :
L’œil qui pleure,
Les lèvres qui sourient,
Le sommeil qui se réveille,
Le cœur qui résonne l’envie de vivre,
Les coups qui tombent sur les innocents,
Les épreuves qui frappent à nos portes
Sont le reflet de ma terre.
Un peuple qui agonise, un peuple qui meurt, et ce peuple semble exister dans une éternelle impasse ; car il ne respire que la douleur et la misère, mais cette légende demeure dans son essence un récit-poème dans lequel on retrouve également le voyage émotionnel à travers des vers, des chants à l’égard d’un paradis perdu, l’Oubangui dans toute son ivresse.
Comme par ses vers qui s’exhibent :
L’œil qui pleure,
Les lèvres qui sourient,
Le sommeil qui se réveille,
Le cœur qui résonne l’envie de vivre,
Les coups qui tombent sur les innocents,
Les épreuves qui frappent à nos portes
Sont le reflet de ma terre.