Le principe à l'origine de l'écriture Mandombe et ses implications

Considérant que l'imaginaire précède le réel, l'invisible précède le visible et le spirituel précède le matériel, je suis de ceux qui croient que la découverte est relative à la vérité spirituelle et que l'invention est scientifique.

Il doit y avoir une explication profonde de la raison des choses que je ne cesse de chercher. Les chiffres ont-ils une signification et un pouvoir qui puissent nous aider à comprendre l'univers et ses lois ? En définitive, Dieu ? Nous permettent-ils de découvrir et d'inventer ? Comment peut-on, partant de formes de chiffres 5 et 2 appelés « Mvuala » par l'inventeur inspiré ; inventer une écriture ? Un illustre savant ne disait-il pas que: « Les nombres sont la mesure de toute chose ? Que l'harmonie de l'univers est régie par les nombres entiers, le pair et l'impair ? » Quelle relation existe-t-il alors entre le nombre 52 et l'écriture Mandombe ?

L'originalité de l'écriture Mandombe réside dans l'élucidation de ces interrogations d'autant plus que ses éléments de base, les chiffres 5 et 2, sont le fruit d'une révélation divine attestée contrairement à d'autres écritures qui ont connu une invention collective et progressive et ce, par dérivations et modifications successives du Medu Neter (Hiéroglyphes). C'est grâce à cette élucidation que je me suis efforcé de comprendre et d'exposer une signification des Mvuala (principe Mandombe), plus précisément dans leur compréhension en tant que chiffres mais aussi dans leurs implications que sont, d'une part, l'écriture Mandombe et, d'autre part, les applications Mandombe utilisables au quotidien dans plusieurs domaines, surtout scientifiques, technologiques, artistiques et linguistiques.