Cameroonian Studies in Philosophy 3
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Les Cameroonian Studies in Philosophy entendent renouer avec l’ambition de penser l’Afrique.
La revue s’offre comme support à l’élaboration de la réflexion tournée vers le continent africain.
Son assise philosophique, qui ne l’empêche en rien de recevoir des recherches appuyées sur d’autres sciences, lui permet d’accueillir aussi bien des travaux techniques de détail de la philosophie que les réflexions les plus générales.
L’évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu’interdisent les supports généralistes et qu’excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine.
La revue n’hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale.
La philosophie africaine qu’entend défendre la revue est l’héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l’époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large.
La CSP n’entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l’est pas.
Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s’ouvre aussi bien à l’étantité de l’étant qu’au cosmopolitisme dans un monde d’étrangers ou au sexe de l’Etat, pourvu qu’il y ait en un sens large, intention d’Afrique.
La revue s’offre comme support à l’élaboration de la réflexion tournée vers le continent africain.
Son assise philosophique, qui ne l’empêche en rien de recevoir des recherches appuyées sur d’autres sciences, lui permet d’accueillir aussi bien des travaux techniques de détail de la philosophie que les réflexions les plus générales.
L’évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu’interdisent les supports généralistes et qu’excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine.
La revue n’hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale.
La philosophie africaine qu’entend défendre la revue est l’héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l’époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large.
La CSP n’entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l’est pas.
Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s’ouvre aussi bien à l’étantité de l’étant qu’au cosmopolitisme dans un monde d’étrangers ou au sexe de l’Etat, pourvu qu’il y ait en un sens large, intention d’Afrique.
Nkolo Foe, philosophe actif d’une des écoles dominantes de la philosophie camerounaise, a une production importante que l’on peut s’accorder à situer dans la continuité de la pensée de Marcien Towa.
Il retient l’attention dans ce numéro par une œuvre à la méthode plutôt éboussienne.
En effet, Eboussi Boulaga proposait aux Africains de lire en virtuoses les auteurs européens afin de sentir, s’il y a lieu, les porte-à-faux de leurs doctrines quand on les déplace vers l’Afrique.
Relire le postmodernisme à partir d’une position d’Africain, c’était suivre Nkolo Foe à travers un questionnement sur les grilles conceptuelles qui permettent l’interrogation sur l’Afrique.
Discuter Nkolo Foe dans ce numéro a été l’occasion, pour les contributeurs, de revoir le rapport que la philosophie africaine peut construire aussi bien à des auteurs qu’à des courants philosophiques dont la lecture est importante pour le philosophe contemporain (a fortiori africain) qui veut penser son effectivité
Il retient l’attention dans ce numéro par une œuvre à la méthode plutôt éboussienne.
En effet, Eboussi Boulaga proposait aux Africains de lire en virtuoses les auteurs européens afin de sentir, s’il y a lieu, les porte-à-faux de leurs doctrines quand on les déplace vers l’Afrique.
Relire le postmodernisme à partir d’une position d’Africain, c’était suivre Nkolo Foe à travers un questionnement sur les grilles conceptuelles qui permettent l’interrogation sur l’Afrique.
Discuter Nkolo Foe dans ce numéro a été l’occasion, pour les contributeurs, de revoir le rapport que la philosophie africaine peut construire aussi bien à des auteurs qu’à des courants philosophiques dont la lecture est importante pour le philosophe contemporain (a fortiori africain) qui veut penser son effectivité
Fiche technique
- Auteur
- EMMANUEL MALOLO DISSAKÉ
- Éditeur
- L'Harmattan
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