Dans cinquante ans, l'Afrique ne devra plus être du Tiers-Monde, ni le sujet principal des discours sur l'aide.
Pour cela, il faut fonder la vision du futur africain sur le bilan rationnel et dépassionné des cinquante dernières années, au lieu des projections approximatives d'une réalité si mouvante et si oppressive qu'est la mondialisation des mouvements de capitaux, de techniques, des idées et des courants migratoires.
BERNARD NANTET, BERTRAND HIRSH, PIERRE KIPRÉ, YANN POTIN, PAP NDIAYE, PHILIPPE HAUDRÈRE, PIERRE ALEXANDRE, MARC MICHEL, MARIE-LAURE DERAT, MICHEL PIERRE, JEAN-PIERRE CHRÉTIEN, JEAN-RENAUD BOISSIÈRE, JEAN FREMIGACCI, JEAN-PIERRE BAT, FRANÇOIS-XAVIER FAUVELLE, IWONA GAJDA, CATHERINE COQUERY-VIDROVITCH, ESTELLE SOHIER, FRANÇOIS BON
Dans cinquante ans, l'Afrique ne devra plus être du Tiers-Monde, ni le sujet principal des discours sur l'aide.
Pour cela, il faut fonder la vision du futur africain sur le bilan rationnel et dépassionné des cinquante dernières années, au lieu des projections approximatives d'une réalité si mouvante et si oppressive qu'est la mondialisation des mouvements de capitaux, de techniques, des idées et des courants migratoires.
En cliquant sur « Accepter », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser son utilisation et contribuer à nos efforts de marketing. En savoir plus.