La privatisation a fait son entrée en Afrique, sous l'empire des plans d'ajustement structurel (PAS) dans les années 1990.
L'attitude ambivalente des bailleurs de fonds et les erreurs commises dans les programmes de privatisation révèlent que ceux-ci ne sont pas détenteurs de la science infuse.
Chaque pays doit arrêter ses choix et ses priorités, les défendre et les mettre en oeuvre, sans rejeter l'appui éventuel de partenaires extérieurs.
La privatisation a fait son entrée en Afrique, sous l'empire des plans d'ajustement structurel (PAS) dans les années 1990.
L'attitude ambivalente des bailleurs de fonds et les erreurs commises dans les programmes de privatisation révèlent que ceux-ci ne sont pas détenteurs de la science infuse.
Chaque pays doit arrêter ses choix et ses priorités, les défendre et les mettre en oeuvre, sans rejeter l'appui éventuel de partenaires extérieurs.
En cliquant sur « Accepter », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser son utilisation et contribuer à nos efforts de marketing. En savoir plus.