Maintenant que la tristesse sème l'allée de mon regard, / Et que solitude imite ma façon de marcher, / Oh ! Seigneur, vous que j'aime et que j'aimerai par-dessus tout, / Je cesse de vous reprocher de me l'avoir enlevé / Mais n'interdisez pas à mes yeux de pleuvoir"
Maintenant que la tristesse sème l'allée de mon regard, / Et que solitude imite ma façon de marcher, / Oh ! Seigneur, vous que j'aime et que j'aimerai par-dessus tout, / Je cesse de vous reprocher de me l'avoir enlevé / Mais n'interdisez pas à mes yeux de pleuvoir"
En cliquant sur « Accepter », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser son utilisation et contribuer à nos efforts de marketing. En savoir plus.