AKWABA ou Le prix des illusions
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Ce roman nous emmène en Afrique pendant la période de transition des années 1970-1990 qui a succédé aux indépendances des États africains francophones.
Dans ces pages, l'auteur imagine trois personnages principaux qui traversent des crises personnelles et un drame partagé sur fond de tension politique marquée par un réel besoin de plus d'indépendance économique vis-à-vis de la France.
Ce récit reflète aussi les rapports entre Africains et expatriés européens, pendant ces années.
Les gouvernements de ces États s'efforçaient alors, à juste titre, d'exiger des entreprises privées étrangères une accélération de l'africanisation des cadres.
Dans ces pages, l'auteur imagine trois personnages principaux qui traversent des crises personnelles et un drame partagé sur fond de tension politique marquée par un réel besoin de plus d'indépendance économique vis-à-vis de la France.
Ce récit reflète aussi les rapports entre Africains et expatriés européens, pendant ces années.
Les gouvernements de ces États s'efforçaient alors, à juste titre, d'exiger des entreprises privées étrangères une accélération de l'africanisation des cadres.
Philippe Meyer-Pascal est un connaisseur de l'Afrique en tant que journaliste, puis comme directeur d'une importante association économique et sociale en Afrique à cette époque.
Fiche technique
- Auteur
- PHILIPPE MEYER PASCAL
- Éditeur
- L'Harmattan
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Ce roman nous emmène en Afrique pendant la période de transition des années 1970-1990 qui a succédé aux indépendances des États africains francophones.
Dans ces pages, l'auteur imagine trois personnages principaux qui traversent des crises personnelles et un drame partagé sur fond de tension politique marquée par un réel besoin de plus d'indépendance économique vis-à-vis de la France.
Ce récit reflète aussi les rapports entre Africains et expatriés européens, pendant ces années.
Les gouvernements de ces États s'efforçaient alors, à juste titre, d'exiger des entreprises privées étrangères une accélération de l'africanisation des cadres.
Dans ces pages, l'auteur imagine trois personnages principaux qui traversent des crises personnelles et un drame partagé sur fond de tension politique marquée par un réel besoin de plus d'indépendance économique vis-à-vis de la France.
Ce récit reflète aussi les rapports entre Africains et expatriés européens, pendant ces années.
Les gouvernements de ces États s'efforçaient alors, à juste titre, d'exiger des entreprises privées étrangères une accélération de l'africanisation des cadres.