Partir. Roman
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En l'an 2050, l'Europe doit faire face à une chute inédite de son taux de natalité, à des populations vieillissantes réclamant des soins permanents, et à une absence de main d'oeuvre pour prendre soin du troisième et du quatrième âge et faire tourner les usines et les fermes en vue de maintenir le niveau de richesse des États et assurer l'avenir.
Un vaste projet d'immigration est alors conçu par les pays en proie à ce phénomène.
Les migrants, dont chacun a une bonne raison de partir, sont répartis en groupes de cent personnes qui doivent apprendre à se connaitre.
Un vaste projet d'immigration est alors conçu par les pays en proie à ce phénomène.
Les migrants, dont chacun a une bonne raison de partir, sont répartis en groupes de cent personnes qui doivent apprendre à se connaitre.
Valérie SOUBEIGA est mariée et mère de trois enfants.
Après des études de droit au Burkina Faso et en Belgique, de gestion à Abidjan, puis un master professionnel en Ingénierie juridique et droit des NTIC à Dakar, elle est cadre dans une institution publique de son pays.
Après des études de droit au Burkina Faso et en Belgique, de gestion à Abidjan, puis un master professionnel en Ingénierie juridique et droit des NTIC à Dakar, elle est cadre dans une institution publique de son pays.
Fiche technique
- Auteur
- VALÉRIE SOUBEIGA
- Éditeur
- L'Harmattan
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En l'an 2050, l'Europe doit faire face à une chute inédite de son taux de natalité, à des populations vieillissantes réclamant des soins permanents, et à une absence de main d'oeuvre pour prendre soin du troisième et du quatrième âge et faire tourner les usines et les fermes en vue de maintenir le niveau de richesse des États et assurer l'avenir.
Un vaste projet d'immigration est alors conçu par les pays en proie à ce phénomène.
Les migrants, dont chacun a une bonne raison de partir, sont répartis en groupes de cent personnes qui doivent apprendre à se connaitre.
Un vaste projet d'immigration est alors conçu par les pays en proie à ce phénomène.
Les migrants, dont chacun a une bonne raison de partir, sont répartis en groupes de cent personnes qui doivent apprendre à se connaitre.