Le narrateur, âgé de soixante-quatorze ans, sentant son Heure approcher, fait un bilan de sa longue existence.De sa naissance dans les montagnes des Babors, en Algérie, à son installation en France, au début des années 1960, en passant par sa vie à Constantine où il vécut durant une décennie, avec son père, il se remémore tous ses souvenirs.Parfois pittoresques, quelquefois tragiques, souvent douloureux, ceux-ci l’assaillent sans répit et lui font regretter certains de ses actes ; comme son second mariage qui l’a brouillé avec ses enfants et séparé définitivement d’eux.Déplorant cela, il se demande, sans cesse, si ces derniers lui pardonneront un jour et reviendront à lui avant qu’il ne rende son dernier souffle.
Mohamed-Chérif Sekmakdji vit depuis 1960 dans la banlieue de Lyon.Dans ce second roman, il traite des thèmes de l’exil, du déracinement, de la séparation et de la solitude à travers l’histoire romancée, voire romanesque, de son père.
Le narrateur, âgé de soixante-quatorze ans, sentant son Heure approcher, fait un bilan de sa longue existence.De sa naissance dans les montagnes des Babors, en Algérie, à son installation en France, au début des années 1960, en passant par sa vie à Constantine où il vécut durant une décennie, avec son père, il se remémore tous ses souvenirs.Parfois pittoresques, quelquefois tragiques, souvent douloureux, ceux-ci l’assaillent sans répit et lui font regretter certains de ses actes ; comme son second mariage qui l’a brouillé avec ses enfants et séparé définitivement d’eux.Déplorant cela, il se demande, sans cesse, si ces derniers lui pardonneront un jour et reviendront à lui avant qu’il ne rende son dernier souffle.
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