Le chant d'un grillon. Poèmes
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Avec ce premier recueil, l'auteur souhaite créer un monde à lui, calme, paisible et juste.
Cet univers idyllique, il le nomme et le conçoit comme ''sa Thébaïde''.
Ce faisant, en exprimant ses joies, ses peines et ses angoisses inhérentes aux mauvais jeux politiques de son pays, marqué par de violents soubresauts, le poète s'écrie "« Ah ! je sors d'une éclampsie / Depuis 2002 / J'ai donc perdu ma ralingue / Et ma voix se perd dans le vent / Et comme un violent ressac / Je me recroqueville pour rétamer / Mon cri bruyant ».
Cet univers idyllique, il le nomme et le conçoit comme ''sa Thébaïde''.
Ce faisant, en exprimant ses joies, ses peines et ses angoisses inhérentes aux mauvais jeux politiques de son pays, marqué par de violents soubresauts, le poète s'écrie "« Ah ! je sors d'une éclampsie / Depuis 2002 / J'ai donc perdu ma ralingue / Et ma voix se perd dans le vent / Et comme un violent ressac / Je me recroqueville pour rétamer / Mon cri bruyant ».
Ivoirien né en 1974, diplômé de l'École Nationale d'Administration (ENA), Ta Bi Gohi JONAS sera Inspecteur du Travail et des lois sociales dès 2010.
Après sa thèse unique de Doctorat, il intègre l'Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody à Abidjan en qualité d'enseignant en poésie africaine.
Après sa thèse unique de Doctorat, il intègre l'Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody à Abidjan en qualité d'enseignant en poésie africaine.
Fiche technique
- Auteur
- GOHI JONAS DR TA BI
- Éditeur
- L'Harmattan
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Avec ce premier recueil, l'auteur souhaite créer un monde à lui, calme, paisible et juste.
Cet univers idyllique, il le nomme et le conçoit comme ''sa Thébaïde''.
Ce faisant, en exprimant ses joies, ses peines et ses angoisses inhérentes aux mauvais jeux politiques de son pays, marqué par de violents soubresauts, le poète s'écrie "« Ah ! je sors d'une éclampsie / Depuis 2002 / J'ai donc perdu ma ralingue / Et ma voix se perd dans le vent / Et comme un violent ressac / Je me recroqueville pour rétamer / Mon cri bruyant ».
Cet univers idyllique, il le nomme et le conçoit comme ''sa Thébaïde''.
Ce faisant, en exprimant ses joies, ses peines et ses angoisses inhérentes aux mauvais jeux politiques de son pays, marqué par de violents soubresauts, le poète s'écrie "« Ah ! je sors d'une éclampsie / Depuis 2002 / J'ai donc perdu ma ralingue / Et ma voix se perd dans le vent / Et comme un violent ressac / Je me recroqueville pour rétamer / Mon cri bruyant ».