La cohabitation entre la ville moderne et les habitats spontanés est toujours difficile.
Repoussés par les extensions perpétuelles de la ville, les occupants illégaux, les premiers à apporter les premières mutilations à la nature, cèdent périodiquement leur place aux nouveaux quartiers, loin de l’océan.
Depuis 1986, le gouvernement a mis en oeuvre une politique nationale de restructuration et de régularisation foncière de l’habitat spontané, fondée sur le maintien des habitants dans les quartiers spontanés et sur leur participation directe à l’amélioration de leur cadre de vie et illustrée par une opération-test dans le quartier spontané de Dalifort, en périphérie de Dakar.
La cohabitation entre la ville moderne et les habitats spontanés est toujours difficile.
Repoussés par les extensions perpétuelles de la ville, les occupants illégaux, les premiers à apporter les premières mutilations à la nature, cèdent périodiquement leur place aux nouveaux quartiers, loin de l’océan.
Depuis 1986, le gouvernement a mis en oeuvre une politique nationale de restructuration et de régularisation foncière de l’habitat spontané, fondée sur le maintien des habitants dans les quartiers spontanés et sur leur participation directe à l’amélioration de leur cadre de vie et illustrée par une opération-test dans le quartier spontané de Dalifort, en périphérie de Dakar.
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