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Les principales causes des conflits fonciers agricoles sont l'extension des constructions sur les terres privées, la croissance démographique, la fragmentation des terres et le drainage.
En outre, la rareté des terres agricoles, la forte demande de terres, les problèmes d'héritage et l'accaparement des terres sont d'autres causes de conflits fonciers agricoles.
Les agriculteurs en conflit ne s'invitent pas et ne se soutiennent pas mutuellement dans les associations et organisations sociales.
Par conséquent, les conflits fonciers mettent fin à l'interaction sociale de la communauté.
En outre, un agriculteur a besoin en moyenne de plus d'un mois et de 2445,72 birrs éthiopiens par an pour régler son affaire lorsque le conflit foncier est porté devant les tribunaux.
De plus, les agriculteurs perdent entre 18,8 % et 23,2 % de leur productivité agricole en raison des conflits fonciers.
Les conflits fonciers entravent le développement local et national en affectant principalement la productivité agricole rurale.
La grande majorité des affaires traitées par les tribunaux concernent des conflits fonciers.
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Berihu A.
Siyum, MA : a étudié le développement à l'université de Mekelle, en Éthiopie.
Il a neuf ans d'expérience professionnelle en tant que professeur d'université.
Il a également publié trois articles dans des revues internationales.
Il travaille actuellement comme responsable de la recherche et de la publication à l'Adwa College of teacher education and educational leadership, en Éthiopie.
Fiche technique