Comprendre la constitution dans le contexte africain

Dans les notes de cours du professeur Yan Vansina, un anthropologue, ancien professeur de l'Université Lovanium, actuellement Université de Kinshasa, il a mentionné que le principe de la séparation des pouvoirs dans un Etat africain, contient cinq pouvoirs, dont l'Information et le Support, en plus de trois autres cités par Montesquieu.

De ma part, j'y ai apporté la référence à la Palabre africaine, une institution hautement démocratique, dont la modernisation dans le contexte étatique actuel se veut plus scientifique, pour l'ordre et la justice devant caractériser toutes les relations politiques.

Ainsi, d'une part, l'Information doit être composée de la recherche scientifique et de la presse, et d'autre part, le Support, composé de la population personnifiée par le Chef de l'Etat, dans un régime qui n'est ni parlementaire ni présidentiel, mais arbitral.

Il s'agit d'arrondir universellement le droit constitutionnel, par le référendum, comme ce fut le cas aux Etats-Unis d'Amérique lors de la Convention de Philadelphie, en 1787.