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Il est certes important d’obtenir une bonne correction chirurgicale et un bon résultat anatomique, mais ça ne suffit pas pour obtenir une bonne qualité de vie au moins comparable à celle d’avant le traumatisme rachidien.
Donc, une approche plus globale, multidisciplinaire, intégrant la dimension humaine du patient est susceptible d’optimiser les choix thérapeutiques, la compréhension et la communication avec le patient afin d’améliorer sa QDV.
Dr AMENI AMMARAssistante hospitalo-universitaire en chirurgie orthopédiqueInstitut National D’orthopédie MT KASSABService des urgences traumatologiques.
Fiche technique