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Les défis de la déperdition étudiante dans les universités marocaines
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Le passage dans l’enseignement supérieur est une étape-clé du parcours du jeune.
Le choix d’une filière de formation doit être déterminé en fonction des goûts et aptitudes de l’élève mais également en fonction de ses chances de réussite et des possibilités professionnelles.
Mais l’offre universitaire est riche et foisonnante, les métiers sont innombrables, et l’articulation entre formations et emplois n’est pas toujours aisée à établir.
Il est donc indispensable que l’étudiant puisse disposer de toutes les informations utiles pour faire, dans la plus grande transparence, un choix libre et éclairé.
C’est une condition majeure pour rendre le système de formation crédible et performant.
Cependant, avant la période de la révolution industrielle, il était pratiquement impossible qu’un élève se choisisse le mode de vie voire sa profession future.
Le tout, pour n’est pas mâcher les mots, était déjà déterminé dès sa naissance par ses parents.
L’élève grandissait au sein de sa famille, imitant ainsi les gestes, les actes et réactions de ses parents, découvrant le monde à travers leurs expériences, apprenant de ce fait le métier exercé par ses parents.
Etudiant à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education de l’Université Pédagogique Nationale (RD.
Congo), Jean Pierre Tshisuabantu Yamba preste aussi comme Consultant au Programme d’Orientation Scolaire Académique et Professionnelle (PROSAP).
Fiche technique