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Notre dignité. Un féminisme pour les Maghrébines en milieux hostiles
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Il est ici question de la participation citoyenne dans la démocratie au Tchad.
Il est mis en exergue dans ce ouvrage un collectif d’organisation de défense des droits de l’homme dénommé CADH qui, dans un contexte politique violent tente d’influencer le pouvoir public à se conformer aux principes de la démocratie et des droits de l’homme.
Avec cette organisation faîtière, le régime politique en place a pris conscience du rôle du CADH dans la démocratisation du pays et de son influence sur le terrain.
Son travail a contribué à faire reculer significativement la situation d’insécurité dans le pays.
Sur le plan national et international, il apparaît comme un interlocuteur valable et capable de créer une dynamique au sein de la société civile.
Par ailleurs, le CADH est une organisation très dépendante de l’appui financier extérieur et soumis aux aléas politiques du pays.
Toutefois, il faut retenir que l’organisation joue un rôle impulsif dans la démocratisation tchadienne à travers ses activités et ses implications dans la gestion du pouvoir public.
DJIMADOUM TOKOD Didier: Sociologue.
Consultant Expert en Population et Développement.
Marié, père de 2 enfants; Nationalité: Tchadienne; 2008 à 2013: Délégué Régional du Sud-Ouest de l’Association pour la Promotion des Liberté Fondamentales au Tchad (APLFT) au Mayo-Kebbi.
2013: Fonctionnaire au Centre National de Lecture Publique AC(CENALPAC).
Fiche technique