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Les résidus d'antibiotiques et les risques de santé publique
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A travers le monde, la distribution géographique et la prévalence de la fièvre Q animale et humaine ne sont pas très bien établis, cette maladie n’épargne que quelques pays.
L’agent responsable est une bactérie intracellulaire obligatoire appelée Coxiella burnetii.
Elle se retrouve en deux phases distinctes I et II.
Son cycle de développement se caractérise par la succession de deux principales formes (LCV et SCV).
Cependant, sa résistance dans le milieu extérieur est exceptionnelle.
Les ruminants domestiques constituent le réservoir principal de la fièvre Q et la transmission est majoritairement respiratoire.
L’infection par C.
burnetii est généralement inapparente.
Lorsqu’elle s’exprime, elle est représentée principalement par des troubles de la reproduction puisqu’elle envahit préférentiellement l’appareil génital.
Souvent, une quantité importante de bactéries est excrétée dans les produits de parturition, dans le lait, les fèces et le sperme.
Le choix du protocole de mise en évidence de la fièvre Q dépend de la situation épidémiologique.
Docteur vétérinairePh.D.
en microbiologie médicale vétérinaireEnseignant-chercheur
Fiche technique