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Au commencement la problématique de l'eau se posait en termes de disponibilité de la ressource et de difficultés d'accès.
Ce n'est qu'avec l'apparition de l'offre et de la demande en eau que l'on parle aujourd'hui d'un marché.
Cependant, le marché de l'eau doit-il être soumis à la loi de la concurrence à l'instar d'autres biens économiques ou bien au contraire comme l'eau fait partie du domaine public, chaque utilisateur doit respecter sa valeur écologique de sorte que la qualité de cette denrée ne soit pas affectée.
Naturellement que c'est plutôt la concertation entre tous les acteurs impliqués qui est requise.
C'est ce qui justifie l'arrêté du ministre togolais de l'eau et de l'hydraulique villageoise pris en date du 30 novembre 2020 et paru dans la rédaction @gapola le 1er décembre 2020, qui se veut être qu'un catalyseur.
Ainsi, cet article se propose être une communication d'aide à l'acceptation de cette décision ministérielle pour assurer une évaluation de politiques publiques dans ce secteur d'activités essentiel et où interviennent des outils de bonne gouvernance à l'instar de l'OCDE.
L'auteur, Monsieur Nakodjoua KOLANI, né le 23 novembre 1983 à Koumassi en République de Côte d'Ivoire, est titulaire d'un Master 2 en Sciences Juridiques, Politiques et de l'Administration obtenu en 2015 à la faculté de Droit de l'Université de Lomé (Togo) où il est inscrit depuis novembre 2016 en thèse de doctorat en Droit Privé.
Fiche technique