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Les endoparasites de Mytilus galloprovincialis (Mollusque, Bivalve)
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Eu égard aux changements climatiques et afin de progresser dans la compréhension de la disparition graduelle des Atriplex annuels en Tunisie, plantes fourragères de la famille des chénopodiacées, nous avons évalué la tolérance de cette gamme d’espèces vis-à-vis du déficit hydrique, du sel et des métaux lourds.
L’étude a porté sur deux espèces d’Atriplex annuels: A.
hortensis (var.
purpurea et var.
rubra) et A.
rosea, du point de vue des modifications physiologiques et biochimiques en conditions stressantes.
La première partie du travail a consisté à mettre au point la réponse des plantes d’A.
hortensis au déficit hydrique.
Pour cela, les plantes des deux variétés d’Atrilpex sont soumises à différents régimes de déficit hydrique (100, 80, 60 et 40% de la capacité au champ).
La deuxième partie aborde l’effet du déficit hydrique et les différentes concentrations en NaCl (0, 90, 180 et 260 mM), pendant trois mois.
Salma SAI KACHOUT est chercheur à l'Institut National de la Recherche Agronomique de Tunis (INRAT), Laboratoire de Production Animale et Fourragère.
Elle est titulaire d'un Doctorat en Sciences Biologiques de l'Université des Sciences de Tunis (Tunisie).
Fiche technique