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Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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A l’arrivée d’Alassane Ouattara au pouvoir en 2011, il a réitéré à deux reprises la reconnaissance de la CPI, avant la ratification du Statut de Rome de la CPI le 15 février 2013.C’est la célébration du deuxième « mariage » entre la Côte d’Ivoire et la Cour Pénale Internationale.
Notons que c’est un travail de plaidoyer de la Coalition Ivoirienne pour la Cour Pénale Internationale qui a amené la Côte d’Ivoire à ratifier le texte fondateur de la CPI, c’est-à-dire le Statut de Rome.Comme dans tous les pays qui sortent de crise, la justice ivoirienne était en lambeaux.
C’est ce prétexte qui va être utilisé pour signifier que la Côte d’Ivoire n’avait pas la capacité de juger les crimes graves commis sur son sol.
PCA Coalition Ivoirienne pour la CPI;Président du Réseau Equitas Côte d'Ivoire;Point Focal Afrique de l'Ouest du Réseau Africain sur la Justice Pénale Internationale;Coordonnateur des Coalitions de l’Afrique Francophone pour la CPI;Past Président Amnesty International Section CI;Expert et consultant en justice pénale internationale.
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