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Loin des fixations mémorielles que susciteraient les cas des tragédies de la catastrophe ferroviaire d'Eséka et des attaques de la secte islamiste Boko Haram, il convient, comme le suggérait Emile Durkheim, de les considérer « comme des choses » afin de mieux appréhender l’action publique déployée pour y faire face.
Le Cameroun avait - il suffisamment mûri sa prospective? Quels enseignements tirer de ces deux phénomènes sociaux d'ampleur significative? Où en est - on avec l'aide à la prise de décision?Autant de questions soulevées par les cas à l'étude.
Ulrich Xavier Ovono Ondoua, Magistrat camerounais, diplômé de l'ENAM au Cameroun, de l'ENA de France et de Sciences Po Strasbourg.
Fiche technique