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A l’instar d’autres pays africains, le Burkina Faso connaît un niveau élevé de mortalité en général et celui de la mortalité infantile en particulier.
Selon l'EDSBF-MICS IV réalisée en 2010 la mortalité infantile a significativement baissé passant respectivement de 109,7 décès pour mille en 1998 à 66,6 décès pour mille en 2010 et ce quel que soit le milieu de résidence.
Les objectifs principaux sont de dégager la part du changement qu’on peut attribuer à l’effet de composition et à l’effet de performance selon le milieu de résidence; dégager la part du changement imputable à la mortalité de base et celle attribuable à la différenciation par SSE du ménage.
Enfin, dégager les implications politiques des tendances observées.
A cet effet, nous avons utilisé les données issues de EDSBF (1998/99, 2003 et 2010).
Au terme de l’étude, les résultats ont montré qu’en milieu urbain comme en milieu rural les changements du niveau de mortalité sont dus au changement de comportement sanitaire à l’égard des enfants.
DIALLO Ahamadou, né en 1986 à Bamako, est chargé d'études au Bureau Central du Recensement et à l'Institut National de la Statistique (INSTAT) du Mali.Détenteur d'une maîtrise en Mathématiques Appliquées et d'un master professionnel en Démographie (IFORD), il s'intéresse à la recherche en population, développement et santé.
Fiche technique