Notre dignité. Un féminisme pour les Maghrébines en milieux hostiles
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En vue d’établir une ligne de démarcation entre l’impérieuse nécessité de gestion durable des ressources naturelles et l’explosion démographique qui remet en question la sécurité alimentaire, une étude a été menée dans les villages Nkiela et Kinsuanga accompagnés par le Centre de recherche en communication et Développement Durable enfin d’en déduire le savoir local en matières d’agroforesterie considérée aujourd’hui comme la meilleure pratique agricole dans le contexte du changement climatique du 15 mai au 15 juin2018.
L’objectif global de cette étude est de contribuer au développement de l’agroforesterie dans la zone d’intervention du CERED/Mongata tout en valorisant ses potentialités en la matière.
Et spécifiquement, l’étude vise à inventorier, caractériser et analyser les pratiques agroforestières traditionnelles afin d’en apporter des améliorations durables.il ressort de cette étude que les jardins de case (100%), les cultures sous couvert arboré, l’association culture vivrière+arbres fruitiers et bois énergies plantés sont les trois pratiques agroforestières paysannes utilisées par les paysans.
Mais que leurs mises en place doivent être revues pour une bonne rentabilité.
Née en 1995 à Kikwit dans la province du Kwilu en République démocratique du Congo, Rachel Mbana est diplômée de master professionnel en gestion des ressources naturelles renouvelables de l'université Loyola du Congo des prêtres jésuites de Kimwenza à Kinshasa/RDC.
Elle est passionnée à partager son expérience avec les communautés paysannes.
Fiche technique