Ethnographie de la sécurité urbaine au Cameroun
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Depuis son histoire, la ville de N’Djamena n’a pas connu une politique publique de gestion de transport urbain en commun.
Après 100 ans d’existence, l’Etat n’a songé mettre en place un système de transport urbain en commun digne de ce nom.
Le transport soutien la viabilité de la ville, c’est pourquoi il est essentiel et nécessaire.
Dans un contexte marqué par les ODD dont le Tchad, pays membre des Nations-Unies a souscrit, se démarque par son incapacité à frôler cette politique.
Vétusté du parc automobile, insuffisance et dégradation avancée des voiries urbaines, non hiérarchisation du secteur, stratégies de survie des acteurs d’en bas etc.
sont les principales caractéristiques du transport urbain à N’Djamena.
Les conséquences sont l’inconfort, les accidents des voies publiques avec des pertes en vies humaines, matériels et financiers.Le gouvernement tchadien a un défi de taille à relever dans ce secteur qui, pourtant, censé booster l’économie et être inclusif dans le contexte d’actualité des ODD.
Un investissement juste et rationnel peut considérablement panser la plaie.Cet ouvrage est le résultat des travaux de mémoire de Master soutenu à l’Université de Yaoundé 1.
NZHIE ENGONO Jean est professeur de Sociologie et Anthropologie, Doyen de la Faculté des Arts, Lettres et Sciences Humaines à l’Université de N’Gaoundéré au Cameroun.Bienvenu DALDIGUE est Sociologue et passionné du métier de la communication.
Titulaire d’un Master en Management du développement urbain et étudiant en Master CIAH à Kalu Institute.
Fiche technique