Le jour se lèvera
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Dans ce livre, fort de son passé éclectique, l’auteur jette un regard critique et livre une réflexion tout aussi critique sur la vie dans ce qui pourrait être n’importe quel pays du continent.
Un pays qui végète dans la médiocrité et dans lequel la vie n’est que misère et souffrance.
Un pays malade de ses dirigeants.
Un pays malade de ses élites.
Un pays malade de son peuple.Il stigmatise le comportement irresponsable de ses dirigeants.
Ils n’ont ni moralité, ni vision pour l’avenir de leur pays.
Ils s’adonnent à cœur joie au pillage de ses ressources.
Et, fervents disciples d’Épicure, ils se complaisent dans la jouissance des biens mal acquis.
Ils accaparent et monopolisent ses abondantes ressources et ses immenses potentialités pour assouvir leur insatiable soif d’enrichissement personnel, celle de leurs proches et de leur entourage.
Ainsi, se détournent-ils de leur mission première.
Ils n’œuvrent pas à la bonne marche de leur pays, plongeant ses habitants dans une misère innommable.
Lambert MIMPIYA a exercé plusieurs métiers.
En 1971, il a été nommé Ministre des Petites et Moyennes Entreprises.
Il a été aussi Réalisateur et Programmateur des émissions à caractère économique à la radio-télévision TELESTA; Rédacteur en Chef, puis Directeur de la Revue LOKOLE; Directeur de l’Institut Supérieur d'Études Sociales de BUKAVU, etc.
Fiche technique
- Auteur
- LAMBERT MIMPIYA AKAN
- Langue
- Français
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Dans ce livre, fort de son passé éclectique, l’auteur jette un regard critique et livre une réflexion tout aussi critique sur la vie dans ce qui pourrait être n’importe quel pays du continent.
Un pays qui végète dans la médiocrité et dans lequel la vie n’est que misère et souffrance.
Un pays malade de ses dirigeants.
Un pays malade de ses élites.
Un pays malade de son peuple.Il stigmatise le comportement irresponsable de ses dirigeants.
Ils n’ont ni moralité, ni vision pour l’avenir de leur pays.
Ils s’adonnent à cœur joie au pillage de ses ressources.
Et, fervents disciples d’Épicure, ils se complaisent dans la jouissance des biens mal acquis.
Ils accaparent et monopolisent ses abondantes ressources et ses immenses potentialités pour assouvir leur insatiable soif d’enrichissement personnel, celle de leurs proches et de leur entourage.
Ainsi, se détournent-ils de leur mission première.
Ils n’œuvrent pas à la bonne marche de leur pays, plongeant ses habitants dans une misère innommable.