Enjeux d'organisation d'un forum économique : cas de la RCA à Dubaï
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La terre, capital principal de l’exploitation rural dans la chefferie de Kabare est désormais insuffisante.
La superficie moyenne exploitée par chaque agriculteur est estimée à 1h.
Cependant, il existe des ménages ne disposant pas de terre.
L’étendue moyenne de champ réservée à la culture de maïs est appréciée à 1/2ha par ménage.
Les conflits fonciers constituent également un autre facteur constituant un frein au développement des chaïnes de valeur de la culture de maïs (87%).
S’agissant des facteurs de production notamment les intrants agricoles, 56% des enquêtés n’accèdent pas aux semences améliorées.
L’engrais utilisé est essentiellement organique (95%) et seulement 5% de ménages recourent à l’engrais minéral.
Les techniques et méthodes agricoles appliquées pour la production sont essentiellement traditionnelles (74%), les produits phytosanitaires ne sont pas d’usage pour la culture de maïs (61%) et seulement 31% pratiquent ces produits pour le bon développement de leur culture de maïs.Ce qui a comme retombée la faible production de maïs surtout que les producteurs n’attendent pas la maturation de leur culture.
La production moyenne par are est de 50 à 100Kg (52%).
ZALUKE BANYWESIZE François-Merlan, enseignant-chercheur à l’Institut Supérieur de Développement Rural de Bukavu.
Master à l'université de corse/France en management des PME et des territoires touristiques, licence en Environnement et Développement Durable à l’ISDR, consultant dans les ONGs en environnement, Conservation de la Nature et tourisme.
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