Jean Racine

Phèdre (1674), des planches à l'écran

L'actuelle recherche vise à susciter un thème souvent pratiqué par les dramaturges pendant l'époque de la parfaite littérature caractérisée par la symétrie et basée sur la logique impressionnante, à l'âge classique.

Nous étudions ici, une tragédie profane que seul le génie de Racine pouvait innovée à son époque, parmi ses collègues dans la dramaturgie.

Nous démontrons dans le présent mémoire, comment sa perspective dans Phèdre ne se borne dans la généralité de l'acte théâtral qui s'assouvit par la distraction, l'instruction et le divertissement.

Or que ledit créateur janséniste, tente à faire transmettre aux avertis, en vers lyriques et en mouvements pathétiques la terreur et la pitié- étant impliquées dans l'esprit de son protagoniste malade.

De l'ailleurs, nous définissons le profil d'Eliacin comme poète, philosophe et sociologue qui interprète mythologiquement le portrait abyssal de la condition humaine et son reflet externe.

Rajoutons autrement, que l'idée d'analyser l'adaptation filmique de ce chef-d'œuvre en faisant une approche comparative entre Phèdre au théâtre et son jeu filmique n' est pas regrettable, car, les pleurs du personnage s'éclaircissent de surcroît à l'écran.