Profil de santé des femmes souffrant d'hémorragie du post-partum
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Ce travail se propose d'étudier la compréhension originale de la dignité des femmes dans la vision du monde Igbo.
La société traditionnelle igbo a été rencontrée sans idées préconçues.
L'oppression des femmes n'était pas un fait dans la société traditionnelle igbo et elles n'étaient pas non plus de simples appendices des hommes, mais elles étaient complémentaires des hommes.
Les femmes étaient plutôt au centre de la culture de la vie, qui était inscrite dans l'idéologie traditionnelle igbo, faisant des gestes pour la préservation et l'amélioration de la vie.
La femme était assimilée à la déesse de la vie et de la moralité.
Tant qu'elle s'insérait dans cet Être-femme ontologique, elle était épanouie et digne, car pour les Igbo, la dignité reposait sur "ndụ na afa" - la vie et l'aptitude à répondre à la vie.
L'autonomie des deux mondes de genre dans la société Igbo et le respect pour les femmes qui partagent la maternité divine de "Ala" leur permet de prendre soin de la vie et de l'entretenir.
Elle nie la théorie féministe du patriarcat et montre un moyen de sortir du déséquilibre chaotique des relations entre les sexes dans le monde contemporain.
Mes parents étaient feu M.
Gabriel et Mme Maria Ayika.
J'ai rejoint la Congrégation du Saint-Esprit après mes études secondaires à C.K.C.
Onitsha et j'ai été ordonné en 2001 après avoir obtenu ma maîtrise en théologie à l'Université Duquesne.
J'ai fait mon programme de doctorat à UNIZIK, Awka et j'ai obtenu un doctorat en religion et société en 2012.
J'aime l'éducation et les pastorales.
Fiche technique