Étude ethnobotanique sur les plantes médicinales traditionnelles utilisées par les autochtones

Le cas de l'État régional de Harari, en Éthiopie

Il s'agit d'identifier et de documenter les plantes médicinales utilisées par les populations autochtones de la région pour traiter les affections humaines et animales.

Le déclin de la biomasse des plantes médicinales, le transfert incohérent des connaissances sur les plantes médicinales entre les sociétés civiles résultant de la conservation secrète des plantes médicinales et de leurs connaissances par les herboristes traditionnels constituent le problème central de la zone d'étude.

Par conséquent, pour atteindre les objectifs énoncés en répondant aux questions de recherche énumérées dérivées du problème central de la zone d'étude, une approche de recherche séquentielle exploratoire de type mixte a été utilisée.

De plus, pour s'assurer d'obtenir des données fiables et valables, des données primaires et secondaires ont été collectées par le biais de questions d'entretien semi-structurées, de discussions de groupe, d'observations et de questionnaires structurés provenant respectivement de praticiens de la médecine traditionnelle et de praticiens de la médecine non traditionnelle.

Parmi celles-ci, 50 % poussent à l'état sauvage, 30 % dans des jardins privés, 14 % sur des terres agricoles et 6 % dans des clôtures vivantes.

Parmi ces espèces de plantes médicinales, 34% sont des herbes et sont dominantes.