L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Avant son accession à l’indépendance, la Côte d’Ivoire ne disposait que d’un service de transport en commun de type artisanal.
Dès 1960, sous l’impulsion de son premier président, Félix Houphouët-Boigny, ce pays va se doter aussi bien d’infrastructures que de flottes de qualité et en quantité au niveau du transport routier surtout, faisant de celui-ci, l’un des plus importants et des plus viables de l’Afrique de l’Ouest.
Cependant, devant l’explosion démographique et l’urbanisation galopante de la ville d’Abidjan, il va se poser, avec acuité, le problème de la mobilité des populations auquel des initiatives privées, d’abord les "gbakas" et ensuite les "wôrô-wôrô", apporteront un début de réponse en assurant les dessertes intra et inter communales.
Ce changement du visage du transport terrestre sur Abidjan va donner à ce secteur d’assurer, désormais, des fonctions sociales et économiques importantes.
Dès lors, celui-ci va engendrer un phénomène, dont les manifestations sont à la fois sources de violences urbaines et de conflits futurs: le phénomène "gnambro".
Comment en est-on arrivé-là? Qui sont les "gnambros"? Ce phénomène était-il prévisible?
N'DRIN Neuba Serge, né le 15 octobre 1978 à Jacqueville (Côte d'Ivoire) détient un diplôme de DEUG Lettres Modernes et un Master en Culture de la Paix, obtenu à la Chaire UNESCO pour la Culture de la Paix de l'Université Félix Houphouët Boigny, d'Abidjan, (Côte d'Ivoire).
Il est Doctorant en Sciences de l'Information et de la Communication.
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