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La pratique des violences sexuelles est assez répandue.
Les femmes en sont victimes dans toutes les sphères où elles se trouvent.
Ces violences, les femmes les subissent à cause de leur statut d'infériorité.
Il est admis que les violences sexuelles envers les femmes en période de conflit ou post-conflit sont utilisées comme « arme de guerre ».
Nombreuses sont ces femmes qui ont payé le lourd tribu des conflits armés.
L'ONU estime à près de 500 000 les femmes victimes de violences sexuelles suite au génocide du Rwanda en 1994.
Selon l’UNFPA (2008), sur 100 femmes ayant subi des violences sexuelles en période de conflit, 95 % ont subi ces violences dans les zones sous contrôle de la rébellion armée précisément dans la région de l’Ouest de la Côte d’Ivoire.
La présente étude s’intéresse aux facteurs explicatifs des violences sexuelles faites aux femmes à partir des données de l’enquête sur les Violences Basées sur le Genre (VBG, 2008).
Ceux-ci montrent qu’en Côte d’Ivoire, environ une femme sur dix souffre de violences sexuelles.
Le risque varie selon les facteurs socioculturels, économiques et les caractéristiques individuelles de la femme.
Née le 27 Mai 1986 à Abidjan en Côte d’Ivoire, Doria DEZA est titulaire d’un Master en Démographie de l’Institut de formation et de recherche démographiques (IFORD) à Yaoundé (Cameroun).
En fonction à l’Institut National de la Statistique de Côte d’Ivoire, elle s'intéresse aux indicateurs des inégalités liées au Genre.
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