L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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En mai 2017, des informations qui circulaient via WhatsApp faisaient état de la présence d’enleveurs d’enfants dans cet Etat indien.
Très vite, des brigades de vigilance ont vu le jour, massacrant les personnes incapables de justifier leur présence dans la région.
Bilan : 7 morts en une semaine.
Une année plus tard, en juillet 2018, cette fois dans l'État de Tripura, en Inde, la photo d’un marchand de vêtements circulait sur WhatsApp.
La rumeur l’accusait à tort de meurtre d’enfants.
Quelques jours plus tard, il est lynché et tué par une foule en colère.C’est à la suite de ce massacre que la mention « Partagé » est apparue en juillet 2018 sur l’application mobile.
Les usagers peuvent désormais identifier les messages qui n'ont pas été écrits par leur interlocuteur.
De 1906 à 2018, les modes de diffusion des fausses informations ont évolué.
Il demeure toutefois et toujours, le même objectif pour les successeurs d’Ivy Lee : promouvoir la bonne image toujours en évitant la propagation de la mauvaise information.
Cet ouvrage est une contribution à la promotion de la bonne image des organisations, entreprises, personnalités… Il s’appuie sur des cas pratiques.
DESFORGES ADEDIHA est à son deuxième ouvrage, après MULTIMÉDIA ET COMMUNICATION DE CRISE, paru en 2008.
Directeur Exécutif du réseau IPPRB (International Protocol and Public Relations Board), il intervient auprès de structures comme l'Ecole de Commerce et de Gestion (ECG - Abidjan) et l'Université Catholique de l'Afrique de l'Ouest (UCAO).
Fiche technique