Notre dignité. Un féminisme pour les Maghrébines en milieux hostiles
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Aujourd’hui, l’emploi des vigiles dans les entreprises est devenu une mode en Côte d’Ivoire.
Pourtant c’est un emploi qui tend à être banalisé face aux conditions de vie de ces employés.
La base juridique de ce travail étant le TRAVAIL TEMPORAIRE, nous avons cherché à réfléchir sur ce type de contrat.
Une question a été notre vecteur directeur : L’embauche au travers du travail temporaire contribue-t-elle efficacement à la résorption du chômage en Côte d’Ivoire ? A L’analyse, nous voyons que l’embauche par le travail temporaire contribue significativement à la résorption du chômage.
En effet, une bonne atmosphère est créée par les pouvoirs publics pour la pratique de ce contrat.
En conséquence, beaucoup de structures de travail temporaire sont créées et beaucoup de jeunes y sont placés.
Pourtant, à l’épreuve des faits, ce contrat reste un outil de précarisation de l’emploi dans notre pays.
Cela se manifeste dans la brièveté de sa durée, dans sa rupture hasardeuse, etc.
Face à ces désagréments, il est temps que le législateur ivoirien revoie la réglementation de ce type de contrat pour une Côte d’Ivoire émergente.
Titulaire d’un master en droit des affaires, K.
Félicien KOFFI est: Spécialiste en Droit du travail et en Droit des assurances médicales. Ivoirien, né à Pacouabo (Bouaflé), célibataire sans enfant. En service à l’Institut Universitaire d’Abidjan.
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