L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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La critique sociale n’a pas pour objectif de détruire l’œuvre littéraire ni de la modifier, mais de faire ressortir les faits que traitent les auteurs.
Les romancières ivoiriennes sont, certes, arrivées tardivement sur l’échiquier romanesque avec Simone Kaya (1976), mais ces dernières décennies marquent le triomphe de cette littérature, vu le nombre croissant des œuvres littéraires d’expression féminines ivoiriennes.
Il n’y a plus chez elles, de sujets tabous ni de thèmes réservés uniquement aux hommes ; tout se dit et se lit sous la plume des femmes allant jusqu’à s’auto-représenter dans leurs propres textes.
La thématique et le style ont également connu une évolution faisant observer une sorte de rébellion littéraire qui consacre ce qu’on pourrait appeler la naissance d’un nouveau roman ivoirien au féminin.
Ainsi, dans ce processus d’émergence du roman féminin ivoirien, certaines romancières procèdent parfois à une sorte de démantèlement des structures narratives du récit traditionnel féminin taxé, jadis, de récit autobiographique pour revendiquer une liberté de création.
C’est justement cette liberté qui sous-tend le thème de cette œuvre .
Dr Agnès Kouassi est ivoirienne, titulaire d’un Doctorat Unique en lettres modernes et d’un DESS en Ingénierie de Gestion de Ressources Humaines.
Elle est spécialiste en romans féminins ivoiriens et en audit social.
Elle est Enseignant Chercheur à l’Université Alassane Ouattara.
Mariée, mère de deux magnifiques filles, c’est une fervente de Dieu.
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