L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Après son indépendance en 1960, la Côte d’Ivoire a connu trois décennies de prospérité économique avec le parti unique.
Sous la pression des revendications, le multipartisme a été autorisé en 1990.
Cela s’est soldé par une instabilité jusqu’au coup d’état militaire de 1999.
Plusieurs actions ont été initiées, quand en 2002, la guerre éclata.
L’insécurité survenue a entraîné le déclin social.
Face à cette situation, le désarmement des parties en conflit et la réintégration des ex-combattants s’imposent pour rétablir la sécurité.
La réussite de cette phase passe par la capacité des ex-combattants à s’intégrer dans la communauté qui doit les accepter.
C’est dans ce cadre qu’une étude a été menée dans l’ouest ivoirien, pour évaluer la méthode de sensibilisation des communautés.
Cette évaluation a porté sur les écoutes des émissions radiophoniques de paix, produites par SFCG et diffusées à l’endroit des communautés.
Il résulte que la moitié de la population enquêtée écoute rarement ou pas du tout la radio.
En outre, ceux qui écoutent la radio, n’écoutent pas souvent les émissions de paix.
En conclusion, la méthode de sensibilisation par radio n’a pas été efficace mais pertinente.
Née le 31 mai 1971 à Bongouanou (Côte d’Ivoire), Kouamé Pétionille ADJA est mariée et mère de 4 enfants.
Titulaire d’un D.E.A.
de Psychopathologie de la vie Sociale et d’un Master en Gestion de Projet (Université FHB d’Abidjan), elle a travaillé dans tous les programmes de Désarmement, de Démobilisation et de Réintégration (DDR) de son pays.
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