Dépendance à l'exercice physique chez les pratiquants de sport
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A Abidjan, en Côte d’Ivoire, le phénomène de la cybercriminalité a pris une tournure inquiétante.
Avec 85% des messages malveillants qui polluent la toile à leur actif, les acteurs de cette nouvelle forme de criminalité se spécifient par leur jeunesse.
Ces jeunes ont désormais trouvé une activité hautement lucrative leur permettant de « se mettre en valeur ».
Pour eux, escroquer un citoyen Européen ne constitue pas un délit, mais plutôt une manière de « faire payer les dettes de la traite négrière que l’Occident a infligée à l’Afrique ».
L’étude proposée s’inscrit dans le cadre, des recherches de déterminants de la cybercriminalité.
Ainsi, les jeunes Abidjanais s’adonnent à cette pratique parce qu’ils ont une représentation sociale la dépénalisant.
Par ailleurs, la pratique de la cybercriminalité génère chez ces jeunes le développement de nouveaux comportements délinquants, tels que la consommation de drogue, la perversité sexuelle et les pratiques mystiques à caractère criminel.
Bouaké BAMBA, Doctorat en psychologie, actuellement enseignant-chercheur au département de psychologie, Université Félix Houphouët Boigny Abidjan Côte d'Ivoire.
consultant marketing research, également maire de la commune de Worofla.
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